Au nom du droit à la liberté de conscience, tout citoyen est libre de se convertir à la religion qui correspond le plus à ses affinités et ses besoins intérieurs. Du coup, tout en étant issu de la culture, et du culte, arabo-musulman on peut faire un virement à 180° et se convertir soit au judaïsme, soit au christianisme ou encore au bouddhiste/Hindouisme pour ne citer que ceux-là. Tout citoyen, digne de ce nom, est parfaitement libre de choisir la confession qui lui est le plus conforme sans se soucier, l’ombre d’une seconde, des éventuelles représailles qui risquent de s’abattre sur lui par nos « frères musulmans ».
De même qu’on accueille, à bras ouverts, ceux qui se convertissent à l’islam, on doit être en mesure de respecter ce droit confessionnel en gardant une place respectable à ceux qui décident d’en sortir. Qu’on quitte ou qu’on rentre dans l’islam, on est face à la même nature de droit valable dans tous les sens du terme.